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2004

«Tu me fais rire. »
Janvier

« On va bien prendre le printemps sur le coin du nez. »
Mars

« Je ne sais pas comment te remercier. »
Mars

« Il faut une voiture assez grande, avec des enfants, pour voyager. Et pour emmener Louise dans la forêt. »
Août

« (Je me suis demandé) qui repassait tes chemises » (…) « Il pourrait y avoir quelqu’un pour le faire, qui viendrait. »

« Je ne suis pas en relation avec tes soucis ? »
Septembre

« Ce n’est pas ce qu’on avait calculé, avec ma grand-mère. »
Septembre

« J’ai écrit il mouille, au lieu d’il est mouillé. »
Septembre

« Il y en a un qui m’a demandé s’il pouvait m’embrasser. Je n’aurais pas pensé que c’était sur la bouche. »
Septembre

« Tu ne m’as pas laissé le temps de réagir assez tôt… Ensuite je t’ai cherché du regard, mais tu étais déjà parti. Donc je n’ai pas tellement le moyen de te joindre, c’est bête. Merci en tout cas. Au revoir. »
Novembre

« Bonjour, euh… François, c’est Louise. Nous sommes vendredi soir, il est 18 h 30, et je me demandais si tu étais dans le coin ou si tu étais sur le chemin du retour. Voilà. Et point d’interrogation. En tout cas j’aurais plaisir à te voir. Et donc à bientôt. Au revoir.»

Appel téléphonique, novembre

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